Annie DUBLET |
Le rire journalier, est le pain
du pauvre, Myriam, a perdu son chat puissant opticien de ses nuits, et garde manger de ses matins. Quand une tache de couleur, fond, une autre apparaît aussitôt , comme du bois vert, à côté du bois mort. Farandole de lumières, pour danser le soir, à la fête des gens en haute tenue ; bien pensant ,pour ceux qui dorment ! .le nain de jardin !.. qui n'en a pas besoin. L’horloge
n’existe que par décoration, !…puisque de
toute façon, Amène-moi
tes senteurs , Oh. Terre
brûlées des putréfactions, qui deviendront des Orchidées, et du
miel pour mon abeille. Il
est des instants, où l’on ne sait pas que l’on respire, car, il est des
jours, et, des nuits sans que rien ne se passe, si long !…, ou,
non, si court !!… qu’il faudra penser la prochaine fois, de
vivre ses moments inutiles, encore plus intensément. Si,
j’ai une carotte sur la tête, alors les éléphants ont des poux. Le
corbeau n’a jamais lâché de son bec le fromage, il est trop malin, Deux
oiseaux, à deux pattes, sur un fil à linge, cela fait deux pinces, chaque
fois, L’audace,
c’est, d’enlever son tablier, quand les autres le mette. L’œuvre
est humaine, venant uniquement de mon intérieur profond.
Elle deviendra à nouveau charnelle, si le contrat
, entre le spectateur
nouvel
acquisiteur, et propriétaire de l’œuvre se donnent la vie... La
reproduction
simple de la réalité n’a plus
aucun intérêt. Parce que, quand
la
photographie est arrivée, sont arrivés les impressionnistes
qui
peignaient, et ont reproduit la réalité différemment. Quand on
peint la réalité différemment, on recrée
une nouvelle réalité,
|