Auteurs (obsolète)
Bernard Behin
Je suis pensionné après avoir créé de nombreuses entreprises dans divers domaines. Depuis 1984, mes grandes passions sont la prière, l’étude de la théologie et de la philosophie. Diverses expériences mystiques ont véritablement bouleversé mon existence. Ces vidéos veulent être un partage qui, je l’espère, te permettront de découvrir le monde de l’invisible.
Site web : https://www.bernardbehin.be/
Lorraine Dossogne
L’aventure de l’écriture commença pour moi dès l’enfance.
Mais c’est à l’âge de 17 ans que j’écrivis mon premier roman fantasy « Laïna, histoire d’une légende ».
Une chanson sur l’héroïne parut en 2012 « Laïna » par le groupe Last Circle que vous pouvez trouver sur youtube.
Le second volet « Prophétie » fut primé du « Coup de coeur du jury » au château de Madame De Graffigny à Villers-lès-Nancy en mars 2013. Suivi le dernier volet de cette trilogie « Le secret des élus » en 2015.
Je participai également au concours de nouvelles Jean Lebon à Athus en Lorraine belge.
Lors de mes études en tourisme, je réalisai un guide touristique sur base d’une bande dessinée de Jean-Claude Servais sous son accord et désormais en ligne sur son site.
En janvier 2016, mon premier recueil de nouvelles « Chronique de la vie et de la mort » sortit aux éditions Demdel, suivi d’un second recueil « les couleurs de la vie » en mai 2016.
En 2017 parut mon premier roman d’horreur « L’élixir noir » aux éditions Demdel relatant l’histoire d’une retraite d’étudiants à l’abbaye d’Orval.
Un recueil de pensées sortit aux éditions Demdel en 2018. Il est illustré de jolies photos couleurs.
Adresse mail : lorrainedossogne@yahoo.fr
Site web : Jehanne J (webnode.be)
Nicolas Druez
Né à Cologne en 1972, j’ai vécu tout ma jeunesse en Allemagne.
Gradué en communication, j’ai été journaliste professionnel indépendant durant 18 ans. J’ai collaboré à plusieurs quotidiens et couvert l’actualité régionale en province de Luxembourg.
Mes nombreux reportages m’ont amené à sillonner et à découvrir plus d’un recoin en Ardenne et en Famenne. C’est un terroir dont j’apprécie l’authenticité et la simplicité de ses habitants.
Depuis 2013, je suis chargé de communication de la Ville de Marche-en-Famenne, ce qui m’a permis de connaître encore davantage cette commune dynamique, tout en continuant à goûter aux charmes de la région, que ce soit lors de balades à pied ou à vélo.
Pitch du livre
Au nord de la Province de Luxembourg se mêlent et s’embrassent Famenne et Ardenne. Douceur et rudesse. Légendes et Histoire. Rivières, forêts, roches, plaines et collines se côtoient, nature authentique à laquelle l’homme a apporté sa touche au fil du temps.
Nicolas Druez nous invite à la découverte de cette terre discrète, mais ô combien attachante.
Entre passé et présent, sur les traces de personnalités du cru, contemporaines ou oubliées, il raconte ce terroir mi-ardennais mi-famennois, et y cherche ce qu’il a de plus profond.
Une âme, un terreau lointain, un esprit peut-être.
Gérard Bissot, Jean-Marie Martin et Philippe Moës ont pris le relais de l’auteur pour mettre en image cette part de Wallonie que l’on connaît mal, mais qui mérite vraiment qu’on prenne le temps de s’y arrêter.
Avec eux, interrogeons l’Ourthe et son beau miroir : « dis-nous, jolie rivière, quelle est la plus belle ? L’Ardenne ou la Famenne?»
Biographie complète
Contact Nicolas Druez
0496/08.53.48
Julien Dubois
Présentation personnelle :
Je m’appelle Dubois, Julien Dubois. Je ne suis pas Marchois d’origine, je proviens du sud de la Province de Luxembourg, plus précisément de Virton, dans cette jolie région qu’est la Gaume.
Si je suis venu m’installer en Famenne, il y a un peu plus de dix ans, c’est pour mon travail : je suis vendeur dans une grande chaîne de magasins de sports.
Sur le plan privé, j’ai 40 ans, je suis marié, mais je n’ai pas d’enfants.
La passion de l’écriture, je l’avais en moi depuis longtemps, mais je n’avais jamais réussi à la concrétiser dans une œuvre originale.
Ce n’est qu’après mes études que je m’y suis réellement mis.
Parmi mes autres passions, il y a le cinéma, notamment celui de Steven Spielberg ; le théâtre que j’ai joué en amateur ; et le chant que je pratique depuis quelques années avec mon épouse, au sein de la chorale marchoise,
« La Touraline ».
Actuellement, je suis en train d’écrire mon deuxième roman qui sera un western un peu décalé et qui s’appellera : « Complètement à l’Ouest ! ».
Pitch du roman :
« Rififi au Village !!! » est mon premier roman. Sur la forme, celui-ci est constitué de trois parties suivies d’un épilogue.
La plupart des chapitres de ce roman sont racontés à la première personne par un personnage différent afin d’avoir un point de vue personnalisé des situations qui se déroulent dans leur vie.
Sur le fond, l’histoire se déroule quelque part en France, à une période non précisée, dans le petit village fictif de Faupayallez sur Toulla.
C’est un endroit paisible qui reflète bien l’esprit franchouillard et dans lequel tout le monde se connaît et s’apprécie ou presque.
Et dans ce microcosme rural, plusieurs événements vont survenir et mettre les villageois sans dessus dessous : les élections d’un maire en place depuis plus de vingt ans et qui n’a aucun rival ;
mais surtout le mariage entre le banquier et la poissonnière qui va mettre à contribution presque tous les citoyens de la petite bourgade.
C’est alors qu’une sorte de grain de sable va venir mettre à mal toute cette belle mécanique bien huilée…
Mes coordonnées :
Tél : 0496/780229.
Adresse mail : juliendub07@hotmail.com
Catherine Lamoline
Qui suis-je ?
Je suis née marchoise d’une famille marchoise depuis plusieurs générations. C’est dans cette ville que je suis allée à l’école jusqu’à la fin du secondaire. Ensuite, j’ai étudié les langues germaniques à Louvain-la-Neuve. Je suis devenue professeure de langues.
Ma carrière se déroule en deux endroits. J’ai enseigné pendant près de vingt-cinq ans dans un collège de Wavre. Parallèlement, j’ai toujours donné cours à des adultes en Promotion Sociale à Marche-en-Famenne. Depuis quelques années, j’ai opté pour un emploi à plein temps dans cet établissement où j’enseigne l’anglais. En matinée, mon public se compose en grande partie de retraités tandis qu’en soirée, ce sont des travailleurs de tous âges qui se forment.
Mon mari, Adrien Kaisin, est avocat au barreau de Marche. Nous avons deux enfants et habitons sur les hauteurs de la ville.
Un roman marchois dans un décor marchois par une auteure marchoise.
« La Terrienne, c’est le quartier à l’arrière de notre rue. Des maisons blanches, jumelées, avec des jardins entourés de haies de thuyas s’alignent le long d’un large trottoir en pavés. Placé sous la surveillance ombragée d’arbres ronds, ce dernier est la piste cyclable des enfants. Notre promenade s’appelle « faire le tour de la Terrienne ». C’est devenu un verbe, une activité, une demande récurrente. On en connaît les bosses et les fosses par cœur. »
Pitch du roman « Le dernier portrait d’Odile Halleux – Éd. Académia, 2021.
Qu’a-t-on le droit de dévoiler des autres à travers une œuvre d’art ? Au risque de tous les abandons, Odile est devenue peintre. Quel mystère dissimule son dernier portrait ? Deux familles dont les vies s’entremêlent. Des rencontres qui reniflent la part de soi chez les autres. Des liens fraternels suspendus à un fil. Des amitiés reconstructrices. Un roman choral aux entrelacs de couleur, de guitare et de lutherie. Et de secrets. Une écriture mélodieuse et expressive qui rallie quatre voix féminines.
Me contacter ?
romandeclamoline@gmail.com
Luc Lannoye
Ingénieur civil de formation, il a vécu au Proche Orient (Beyrouth) et en Amérique Latine (Nicaragua) avant de venir à Marche,
la ville de sa famille maternelle, les Hanin furent jadis une famille nombreuse et active dans la ville.
Il a dirigé la Bonneterie Hanin-Maréchal à Marloie qu’il a fallu mettre en liquidation et ensuite dirigé de grands chantiers à l’étranger.
Finalement, il a fondé et dirigé INVESTSUD, une société d’investissement dans les PME.
Epoux de Marguerite et père de 5 enfants, Il est retraité
Un premier livre « Regards sur le passé » paru en 1977, raconte l’histoire d’une famille industrielle du Brabant, les inventeurs du Balatum.
La Saga d’un patron un peu hors norme. Une vie familiale au début du siècle passé. Avec une centaine de photos
Bénédicte NOIRHOMME
Accro à la créativité sous toutes ses formes et convaincue de cette affirmation de Jean-Pierre
Klein : « L’expression soulage et la créativité suivie transforme », je crée chaque jour le plus
librement possible. J’aime chercher, réfléchir, créer et découvrir ce qui jaillit de mes mains . C’est
toute ma vie et j’ adore ça !
Luc Templier
PRÉSENTATION
Luc Templier est écrivain, plasticien et calligraphe franco-belge né à Corbeil-Essonnes en 1954. Il est licencié en « Arts plastiques et sciences de l’Art » de l’Université Paris I.
Il a été tour à tour comédien, metteur en scène, a dirigé une agence de publicité puis fut Conservateur de Musée.
Il anime régulièrement des stages sur la créativité et l’écriture.
Ses romans et essais exaltent l’Art.
Ses livres montrent des quêtes acharnées, poignantes, de la sérénité.
L’artiste a un devoir d’espérance, dit-il ; un devoir d’unification. L’écriture est pour lui le « pré-texte » à une recherche affective et poétique ; elle lui permet de décrire des situations vraies ou fausses, lâchées ou maîtrisées, pour créer un choc émotionnel.
Il ne suffit pas que l’écriture soit un chant, ni même un cri, écrit-il : il faut qu’elle drogue, qu’elle enivre, qu’elle provoque chez le lecteur ces somptueuses titubations intimes, poétiques, spirituelles, sans lesquelles il n’est pas de profondeur révélée.
Il a reçu le Prix « Godefroid Culture » en 2012 pour l’ensemble de son œuvre.
COORDONNÉES
Cour Meuris 3
6900 Marche-en-Famenne
Tél: 00-32-(0)473.75.20.29
luc.templier@marche.be
Retrouvez Luc Templier sur Facebook et Instagram
https://www.facebook.com/Luc-Templier-283363235030324/
Bernard Van Vynckt
Bernard est né à Meux (La bruyère) en 1957.
Dès le berceau, il entendit son voisin, et néanmoins ami, lui susurrer à l’oreille : « Rastreind, sés’ ! » Cela commençait bien !
Aux carrefours de ses choix de jeunesse, il a choisi de devenir curé. Il fut ordonné en 1982.
En 1981, les professeurs du séminaire – grossière erreur – ne trouvèrent rien de mieux que de l’envoyer en stage à Gembloux, chez les deux André. André FERARD, l’actuel aumônier des Molons.
Je ne vous dit pas l’apprentissage !
Et André Henin qui, paraît-il, devait lui apprendre à dire la messe.
Il prit la chose au sérieux. Comme il savait que l’apurdice n’avait pas appris le latin à Floreffe. Nenni !
Çà sert à quoi pour un fils de cinsî, décidé à ne pas rester au cul des vaches.
Comme il ne se débrouillait pas mal en français, il restait l’apprentissage du wallon. Il mit ainsi le pied à l’étrier. Pour quelqu’un qui était un piètre cavalier !
Vint le temps de prendre le relais, dans les messes en wallon, à Marche, d’abord, à Waha, ensuite pour terminer, cerise sur le gâteau, à la dicauce de Purnode.
Etait-ce un soir ou était-ce un matin – à partir d’un moment on ne sait plus trop – au cabaret Emon Henry do Prétery, il rencontra un envoyé spécial du CCW (Comité Central de Wallonie)
venu lui promettre un casier de Gauloises ambrées, si l’audacieux curé acceptait de prendre le relais de Pol Malherbe, vieillissant.
« Poqwè nin ? » fut la réponse, après deux tournées.
Il risquait l’aventure, tout en les mettant en garde : « On mitan d’ Flamind et one miète NVA », ce n’est pas de la petite bière. Binauje qu’il était.
Depuis certains se demande de qui, ce Bernard, tient ce caractère one miète arsouille.
Auteur/autrice
jf@marche.be